lundi 2 décembre 2013

Peur du nouveau.


                              



J'ai cette boule au ventre, cette peur qui me pétrifie et qui m'empêche d'avancer... J'ai peur du nouveau. Les nouveaux lieux, les gens inconnus, les rendez vous avec des gens que je ne connais pas... Cela me fait peur... J'ai peut être peur de leur regard ? Ce que leurs yeux disent pour eux... J'ai peur que mon pied me joue un sale tour, celui où il s'affaisse et me laisse m'écraser devant le peuple qui m'entoure... Et par la suite entendre leurs rires moqueurs, si blessant... J'ai peur de ne pas plaire. Que la fille que je suis ne leurs convient pas pour leurs vies trop parfaite à leurs yeux... Je ne plait pas aux yeux des autres je le sais. J'ai peur de me prendre la honte d'une façon ou d'une autre. Je n'arrive pas à mettre de mots sur cette peur qui m'empêche d'aller de l'avant. Mais cela me terrifie... Car je ne suis pas moi dans ces moments là. J'essaie. De jouer mon rôle. Le vrai. Celui que tout le monde connaît, ou plutôt croit connaitre... Je ne suis qu'un rôle. Ce rôle que je joue chaque jour surement plus de fois que le vrai... Celui de cette fille transparente, timide, fragile. 
J'ai peur... Et je ne veux plus avoir peur... Ça me pourrit la vie d'avoir peur. Peur de l'avis des autres sur moi. Leurs regards, critiquent, "avis" me détruisent plus qu'autre chose. Je ne peux plus m'acheter un truc sans penser à leurs avis... Je ne peux plus rien faire sans penser à leurs regards... J'ai toujours vécu avec leurs moqueries. Toujours étais rabaissé. Peur du jugement des autres. Je ne veux plus de tous ça. Plus peur du nouveau. Plus peur du jugement. Avancer sans penser aux jugements des gens. Avancer pour moi. Avancer pour guérir. 


Écris le 02.12.13 à 23:19.

samedi 2 novembre 2013

Je déchante.


Il n'a jamais compter pour moi. Notre histoire n'était que du vent. Un simple jeu pour moi. Son impact sur moi n'est rien à part du vent qui effleure mon visage. Il ne comptera jamais pour moi. Je ne l'aimais pas, je ne l'aime pas, je ne l'aimerais jamais. Il ne m'a rien apporté. Cette histoire n'était qu'une blague pour moi. Une sorte de pari lancer par moi pour moi: sors avec lui aussi longtemps que possible sans tombé amoureuse de lui et sans qu'il le découvre. Il l'a découvert. Je portais un masque. Maintenant je peux l'enlever. Je peux enfin respirer. 1 an et des brouettes. Cela commencer à faire long. J'adorais cette adrénaline celle surnommé "disputes". Cette distance m'a aidé. Savoir que je lui faisais du mal m'importait guère. Jamais je pourrais l'aimer. 


Putain, qu'est-ce que je raconte… 

Je l'aime plus que personne. Jamais je pourrais aimer quelqu'un plus que je l'aime ! Il compte énormément à mes yeux ! C'est mon soleil, mon paradis. Sans lui je ne suis plus rien. Et je l'aime à en perdre haleine. Il m'aide à remonter la pente. Il me redonne confiance en moi. Il compte plus que tout pour moi. Notre histoire et bien plus qu'une simple histoire d'amour. Je ferais n'importe quoi pour lui, n'importe quoi. J'aimerais ne jamais le quitter, ne jamais m'éloigner de lui. L'avoir continuellement, éternellement à mes cotés… 

Entamé le 31/10/13 fini le 2/11/13.



mardi 29 octobre 2013

Je suis une copine en carton remplis de merde.





Ecrire. J'ai plus que ça à faire. Ecrire. Laisser taper mes doigts sur le clavier. J'aimerais retourner en arrière, effacer cette soirée. Le pire c'est que j'y pense plus. J'ai oublier cette soirée. À demi oublié. J'ai oublier le plus important. Cette soirée n'était rien comparait à ce que j'éprouve pour lui (MLS). Cette embrouille se déroule comme celle avec la canadienne, peut être un peu plus longue avec elle. Je l'apprends, ça me fait mal, il me quitte, je souffre comme jamais, je "pardonne", j' ""oublie"". Puis un jour je retombe sur la conversation, alors je remonte pour voir tout, même si je sais que je vais avoir mal en le lisant, puis je tombe sur des choses trop grosses, des choses qui était caché, des choses qui font mal. Il essai de m'expliquer. J'écoute à moitié. J'ai du mal à croire, l'histoire parait trop grosse. Et pourtant je crois, j'essaie d'oublier. J'ai du mal. Bah là, c'est pareil, il découvre, il ne pardonne pas, n'oublie pas, mais essai d'avancer. Puis quelques jours plus tard il fouille par curiosité, comme moi, et découvre un truc caché, un peu gros. 
Il ne m'a jamais cru, il ne me croira jamais. Pour rien. Il me prends pour une salope. Il me prendra toujours pour une salope. Chaudasse
Et ça fait mal.
Oui j'ai merdé, pas qu'une fois. 
Oui j'suis une copine en carton
Oui j'suis une copine de merde.
Oui j'ai pas souvent était là.
Oui j'enchaine connerie sur connerie
Mais j'essaie. J'essaie de jouer un bon rôle. J'essaie pas forcément d'être la Copine Parfaite. 
Mais j'essaie. J'essaie d'être une copine passable. Correcte. 
Et c'est dure. Beaucoup trop dure. 
Mais je vous jure que j'essaie ! Mais je dois être fabriqué comme ça. Avoir ce don. Celui de touché quelque chose et de le brisé. Celui de tout foutre en l'air autour de moi.
J'essaie de minimiser les dégâts, vraiment j'essaie. Mais je fout tout en l'air. Ça nique les autres. Et ça me brise. Car je vois tout partir en couille par ma faute, sans le vouloir. Et je n'arrive à rien contrôler… Je veux pas le blesser. 
Je crois que je l'ai jamais vraiment rendu heureux. Depuis qu'il est là il a voulu deux fois changer la date de retour. Deux fois. 
Même si ça me fait mal de dire ça. Même si ça me fait mal de le penser, de l'imaginer. Je pense qu'il mérite mieux. Il devrait avoir une copine qui habite pas loin de chez lui. Une copine accepter par toute sa famille. Une copine qui l'aimerait plus que moi, même si ça va être dure. Une copine en qu'il croira pour tout, toujours. Une copine parfaite. Une copine bien foutue. Une copine stable dans sa tête. Une copine avec qui il pourrait parler de n'importe quoi sans avoir peur de sa réaction. Une copine qui serait toujours là. Une copine qui le connaitra par cœur. Une copine qui jamais le fera souffrir. Une copine qui n'enchaînera pas connerie sur connerie. Une fille bien. Sa moitié comme dirait certaines personnes. 
Oui il lui faudrait une fille comme ça… Pas moi. Pas une copine en carton rempli de merde comme moi. 

J'avais vraiment envie qu'il passe deux semaines magiques. Deux semaines à mes cotés super. Inoubliables. J'ai tout gâché comme toujours. 
Je l'aime plus que tout, plus que personne vous savez. J'suis bien à ses cotés, je ne joue pas de rôle, je sais vraiment mes sentiments. J'supporte pas le voir pleurer, surtout par ma faute. Et je m'en veux. Et jamais j'aimerais quelqu'un plus que lui. Jamais. Ce sera toujours lui plus que les autres. Toujours. Éternellement  

Je suis la reine de la connerie. Une connerie sur patte. 

Ecris le 29 octobre 2013. 

vendredi 6 septembre 2013

La rentrée !



Ya quelques jours c'était la rentrée. Et fallait que je fasse un article sur ça. Obligé ! Cette journée décisif qui va vous dire quelle année ce sera ! Et oui, emplois du temps, classe, professeurs. Le seul truc qu'on attend surtout de cette journée c'est voir notre emploi du temps, puis enfin les gens de notre classe, et en dernier les chers professeurs qu'on adore toujours autant (Ironie Bonjour !) n'est-ce pas ? Ya trois catégories d'élèves: les stresser, ceux qui viennent en mode cool ils retrouvent leurs amis et les autres. 
Et bah moi je fais partie de la première catégorie celle des stresser et je vais vous dire ma rentrée. 
Je suis rentré le 4 septembre à 9h (pour finir à 12h). Je stressée comme pour chaque rentrée, je connaissais ceux que j'aurais dans ma classe et mes profs. Mais cela m'a pas empêcher de stresser ! Je stresser car j'avais jamais fais ma rentrée "comme tout le monde" à ce lycée car j'étais rentré 10 jours après.  
Et enfin de compte bah j'ai stresser pour kedal. Même classe (je savais) même prof sauf pour l'eps (askiparait elle est mieux celle que j'aurais) et puis pas le même prof d'italien. J'ai flippé pour les deux profs et en bref la prof d'eps est cool askiparait, et la prof d'italien à l'air pas mal. Et puis bah j'ai mon prof de compta en prof principal j'ai plus l'autre prof gueularde itout. Bref toujours une classe à la con mais ça va à la longue je pense m'y faire. Et puis et puis et puis... AH OUIII !! J'ai un meilleur emploi du temps ! Genre l'année dernière je faisait 8h - 17h30. Là le lundi et vendredi 8h - 16h30, mardi 8h - 17h30, mercredi 8h - 12h30 (au lieu de 13h) et le jeudi 8h 17h30. Franchement il me plait bien lui. 

Brefouille, j'ai fais une bonne rentrée. 

lundi 19 août 2013

La distance



L'amour à distance. Beaucoup disent que c'est impossible. Beaucoup jugent sans savoir ce que l'on peut ressentir en vivant cela. Il faut le vivre pour le comprendre.
Au début on se promet de pas trop s'attacher mais on perd le contrôle de tout ce qu'il se passe. Chaque jour on sent que les sentiments sont encore plus fort. 
Nous sommes séparés par tout et pourtant nous sommes inséparables. On se bat. On se sent plus proches que jamais malgré cette distance qui nous court après.
On a une confiance aveugle en l'autre. Chaque moment est partagé, raconter ou filmer. On s'envoie des vidéos, des photos, des lettres, des sms. On passe des heures interminables à la cam. On se demande si un jour on niquera cette distance. Elle court, elle court cette putain de distance.Elle finit par nous rattraper, à n'importe quel moment. Et on se laisse aller. On se laisse détruire. On veut tout laisser tomber. On pleure jusqu'à ne plus avoir de mouchoirs. Puis on finit par se relever et on décide de continuer à se battre. Chacun a sa manière d'affronter cet obstacle. Certains pleure plus que d'autre. D'autres s'énervent en voyant un couple dans la rue. D'autres encore essayent de rester optimiste et sourient en voyant un couple en disant que bientôt ils seront a leurs places. Mais au fond tout est pareil. Chacun vit la même aventure. Parce que oui, c'est une aventure. Chaque jours on se bat. On a pas une seconde de répit, la distance nous suis partout. On la fuit. Cette aventure qui nous rend plus mature. Malgré des moments très difficiles on sait que l'on pourra toujours compter l'un sur l'autre et c'est ce qui nous permet de tenir et de vivre cette aventure à fond. Cette distance ne sera plus qu'un ancien souvenir.


Auteur inconnu.

jeudi 8 août 2013

Vide de sentiments je suis.






J'suis vidée. Tu vois j'suis totalement vidée. Vidée d'émotion, vidée de tout. J'ai juste la nausée dans ce corps vide. Juste ça. Puis j'ai besoin d'écrire. Encore. Pour une fois au bon moment. Alors je tape sur le clavier ce qui me passe en tête comme si j'allais pouvoir allé mieux. Certaines personnes ont besoin de faire du sport, de chanter, de jouer, pour allé mieux après. On a tous besoin de se défouler d'une manière pour se sentir mieux. Certaines façons marchent davantage sur certaines personnes et sur d'autres cela ne marche pas. Moi j'ai simplement besoin de tapé, d'écrire, et de me soulagé le cœur pour allée mieux. Un peu mieux. Et je sers cette grosse peluche rosé contre moi. Comme si elle allait m'aider tiens ! Je pense que parfois certaines personnes ont un don, pas un vrai comme médium ou autre, non juste ce pressentiment d'allé voir une personne, une personne qui va mal à ce moment là, alors que pourtant ils ne le savent pas ils ne savent pas qu'ils parlent à quelqu'un de triste. Et cette personne triste commence à allé mieux. En ce moment précis je suis sans émotion. Vide de sentiments je suis. Je me souviens à l'époque où je tapais énormément. Plusieurs textes par semaines, mois. C'était la cause d'un mec. De mecs oui. J'écrivait car j'étais triste. Triste de tombé, amoureuse, sur des cons. Sur des mecs qui se fichaient de moi. Qui s'intéresser à moi comme aux molécules de l'air. J'étais surement un jeu pour eux, un simple jeu, un simple pion dans le jeu d'échec. Oui un échec pour moi c'était. Et maintenant je remarque que j'écris plus ou presque plus. Et je sais depuis quand depuis plus d'un an. Car quelque chose est rentré dans ma vie comme ça. Car avec cette personne je suis heureuse. Enfin. Elle m'a redonné goût à la vie jour après jour. Et je commence à aller mieux. Cette personne est un ange. Mon ange. Il est tombé du ciel. Alors c'est pour ça que j'écris moins. Mais pourtant, peut-être, que je peux toujours écrire encore, mais que je n'y pense pas, ce n'est plus vitale, car cela ne touche pas l'amour, cela touche le "social". Oui le social. Les emmerdes des gens. Leurs saloperies qu'ils crachent à la gueule comme un "Bonjour !". Oui, je devrais tapé encore, mais plus pour réparé mon cœur brisé, mais pour réparer mon cerveau aussi, lui qui accumule les crasses qu'ont lui envoient. Et qui se tait comme un muet. 

Je suis une petite chose fragile, qui a peur de gêner les autres de n'importe quelle manière qu'il soit et qui a peur de réagir face aux provocs qu'ont lui envoient. Alors je me tait, encaisse, et me la ferme. La petite chose que je suis à aussi peur de grandir mentalement. La petite chose fait tout pour être transparente, pour ne pas être vue des autres. 

Le 08/08/13.



samedi 20 juillet 2013

20 juillet 2013, le besoin d'écrire.




Le 20 juillet 2013

Il faut que j'écris. J'ai besoin d'écrire. Ça fait longtemps que je n'ai pas taper sur un clavier pour vider mon cerveau pendant quelques minutes. Et aujourd'hui j'en ai besoin. 
Je n'aime pas ce que je deviens. Je deviens une fille jalouse et possessive. Et je veux pas ça. Non je veux pas devenir cette fille qui ne laisse aucune liberté à son copain. Je veux pas devenir cette emmerdeuse, parano qui regarde les messages privées pour essayer de se rassurer, alors qu'enfin de compte elle se fait un tas de films, qu'elle se fait du mal pour rien. La confiance est la pourtant. Puis en lisant ces messages privées j'apprends des choses, des choses qui font un peu mal… 
J'ai tellement de chose à dire, à balancer sur ce papier virtuel. Que j'aimerais tout mettre à plat au clair, mais c'est pas tellement possible en fin de compte car je pense trop. Et rien ne s'arrête au contraire cela empire. 
Parfois j'ai l'impression qu'il s'en fout des mots qu'il dit, qu'il ne réfléchit pas en les disant, qu'il ne sait pas l'effet que cela provoque en moi. Certaines phrases m'ont choqué et blessé. La différence entre lui et moi, c'est que je pourrais jamais dire des choses pareil. Jamais. 
La différence entre lui et moi c'est que je j'essaie de tout contenir en moi, ne rien dire, ne pas faire d'esclandre, pour pas passer pour la méchante. Mais lui non il ne se contient pas. Et parfois quand j'en peux plus de tous ceux que je vois ou j'entends je craque et lâche tout. 

J'suis revenue là, et j'ai tout oublié à l'a peut près de ce qui me passé par la tête. J'suis vidé. Mais ça va revenir, oui ça va revenir mais pas au bon moment. Vous voyez le moment ou tu arrives pas à dormir car tu penses trop, au mauvais moment du genre pendant un repas officiel, pendant les courses au supermarché, dans la voiture, le bus ou bien encore le tram. Pareil pour l'objet que tu cherches quand tu as besoin et que tu trouves quand tu en as plus besoin. Vous comprenez ? Ce sera le mauvais moment quand ça arrivera. 

samedi 25 mai 2013

"- J’suis devenue barge quand j’étais avec toi. L’amour est pas censé avoir cet effet là, je peux pas recommencer. - C’est toi qui est en train de me rendre barge Effy, et c’est précisément l’effet que l’amour est censé avoir."



J'ai peur, peur de faire une erreur. J'ai toujours peur de venir te parler, j'ose plus. J'ose plus pour plusieurs raisons : 1) J'ai l'impression de toujours merder ou de te faire chier, 
2) J'ai peur de dire quelque chose qui faut pas, peur de dire quelque chose qui pourrait changer ton comportement,
3) Je t'imagine sans cesse lui parler, vu qu'elle est là quand je ne le suis pas...
J'ai toujours l'impression de dire quelque chose qui ne faut pas avec tes "ok" et tes ":)", j'ose plus trop parler car j'ai peur que ton comportement change et qu'on finisse à plus se parler pendant un moment. J'ai toujours l'impression de merder en faite.
Maintenant quand tu mets 5 minutes ou plus avant de me répondre, je m'imagine que c'est à elle que tu parles. (S'en est devenu infernal.) Que tu lui parle souvent, étant donné qu'elle est là quand je ne suis pas là, et vu que je ne suis pas là souvent avec toutes les embrouilles de merdes qu'il y a... Je t'imagine toujours lui parler, non stop, que tu es heureux, que tu ris, et souris avec elle... Mais je peux pas te priver de lui parler, je peux pas t'en empêcher, j'ai pas le droit de faire ça, je te paraîtrais égoïste, jalouse, et possessive. Je peux pas t'emprisonner dans une cage en or, t'empêcher de parler aux filles, à celles qui t'aiment ou non... 
Je dois te laisser libre.
C'est idiot mais... en mon fort intérieur j'aurais espérer que tu lui parle plus, tu sais quand tu m'as appris qu'elle t'aimer ?, que tu coupe les ponts avec elle, comme si tu faisais ça pour pas que je souffre... Oui c'est débile, car pour toi c'est qu'une simple amie. Que tu m'aimes moi et pas elle.
Mais je sais tout ça, que pour toi il n'y a que de l'amitié, mais elle te la bien dit : ça ne lui suffit pas. Elle veut plus. Mais elle a bien réussis une fois de nous séparer, alors pourquoi pas deux... Le vrai "END" de l'histoire. De NOTRE histoire
J'ai aussi peur que tu me remplace, sans le voir, sans le remarquer, tu sais, peu à peu on s'éloigne, on se parle moins, elle est là, je ne le suis pas, alors tu lui parle... Et pouf un jour c'est comme moi tu déconne avec elle quelques jours et pouf tu l'aimes... Tu te souvient il a suffit que quelques jours pour nous... Et tu m'avais demandé "Pourquoi moi ? Pourquoi c'est moi que t'aime ?" T'avais peur car cela pouvait arriver que je parle deux jours avec quelqu'un et que je l'aime lui, plus toi... Et bien moi c'est pareil je me pose cette question "Pourquoi moi ? Pourquoi c'est moi que t'aime ? Il a suffit que quelques jours ça pourrait bien être une autre, hein ? Alors pourquoi moi ?" Je ne suis pas l'amoureuse idéale pourtant... Tu dois te dire qu'il y a que moi, que tu m'aimes plus que tout, que l'autre n'est rien, tout ça... Je sais, j'ai confiance en toi, mais j'ai peur...
J'ai la sensation que tu me files entre les doigts, que tu me glisse des mains, et que je peux rien faire. Je te vois t'éloigner, et ça me fait peur, car je veux pas te perdre, je tiens trop à toi pour te perdre tu comprends... Je le supporterais pas... 
Tu te souviens j'avais parler que peut-être je pourrais dire sur un coup de tête, d'énervement ou de tristesse, que je pourrais te quitter, sans vraiment le vouloir dans le fond, et que je pouvais peut-être le faire plusieurs fois ce coup là (j'avais dit un truc du genre comme ça) mais tu m'avais répondu que non il n'y aurait pas de plusieurs fois, qu'il n'y aurait pas de "on se quitte, on se remets ensemble". Mais en faite c'est toi qui risque de le faire ce coup là, tu me l'as fait une fois. Mais je te préviens la deuxième je supporterais pas, comme la première... Réfléchis bien si tu compte le dire, car même si je suis follement et éperdument amoureuse de toi comme Juliette et Roméo, de Bonnie et Clyde,  je vais surement refuser pour une prochaine fois de recommencer, car j'aurais surement plus la force de tout ça... Alors avant de me ressortir que nous deux c'est finis réfléchis bien, tourne sept fois ta langue dans ta bouche comme dit certains...
Je me contrôle pas, je me reconnais pas, être jalouse comme ça, d'une fille à des kilomètres à l'autre bout de l'océan. Et ça m'énerve car je peux pas me contrôler, et ça me nique, le coeur tout le reste... 
J'ai peur d'avoir oublier des trucs, j'ai tellement de choses en tête qui se bouscule que je sais plus ce que je voulais dire.


Date: 25/05/13

vendredi 24 mai 2013

Te laisser libre


"Chaque soir je me demande si tu penses à moi."


Depuis quelque temps je me demande si je te rends vraiment heureux. Si t'es pas mieux avec elle. C'est peut-être ça qui me fait mal, pas que le fait qu'elle t'aime et qu'elle te le dise, peut-être que j'ai peur que tu parte. Il y aurait surement moins de disputes avec elle. Mais je sais, j'ai confiance en toi. Mais...J'ai toujours cette peur... Parce que j'suis pas si bien que ça, notre histoire a surement eu plus de bas que de haut... Et ça me fait mal de me dire ça, de me dire que tu t'entends mieux avec en ce moment, qu'elle elle est là quand j'suis pas là... Mais quand j'suis là j'ai cette foutu impression de dire des conneries, je sais plus quoi dire en faite car j'ai toujours peur que ça reparte en couilles, que ton comportement change d'un coup sans crier gare... Et je veux pas ça tu vois, non je veux pas...
J'ai mal, j'ai peur. Peur que tu partes voir ailleurs. J'ai mal car j'ai l'impression que tu t'éloigne de plus en plus... Peut-être que tu rigole plus souvent avec elle ? Peut-être que tu souris plus souvent avec elle ? 
Une partie de moi aimerais te dire de ne plus lui adresser la parole, pas que j'ai pas confiance, mais c'est plus fort que moi, te savoir surement heureux avec elle, qu'elle elle arrive à te rendre heureux alors que nous on se prends la gueule non stop ça me fait mal, j'suis jalouse d'elle peut-être... Je parait égoïste aussi... Mais j'aimerais te garder qu'à moi. Mais je peux pas, j'ai pas l'droit de te demander ça... Je peux pas te priver de parler à des filles... J'suis égoïste et jalouses... J'ai pas l'droit... Je dois te laisser libre... Alors je me contient. Mais j'ai toujours peur au fond de moi que tu t'éloigne, vadrouille à droite à gauche et que tu trouves meilleure que moi... Car c'est facile la meilleure que moi, tu l'as trouve surement au coin de la rue... 

Date : 24/05/13

jeudi 23 mai 2013

Une route à sens unique quoi.


                                                  

Le plus souvent tout ne marche que dans un sens.
Quand on fait une merde, on se fait engueuler, quand ils font une merde on doit rien dire. Ils peuvent jalouser, mais pas nous. Ils peuvent péter des câbles, nous parler comme des chiens mais pas nous. Ils ont plus de libertés que nous. Ça marche souvent que dans un sens. Et on ne doit pas le faire remarquer. Car on s'en prendrait plein la gueule. 
Alors on dit rien, on se tait, on se contient au maximum, puis parfois les mots sortent car il y a un trop pleins dans la boite. Et ça nous arrive en pleine gueule leurs saloperies, leurs piques comme quoi c'est débile ce qu'on dit, ce n'est pas vrai, c'est faux. Mais ils comprennent pas. Non ils comprennent pas, ils essaient pas.  

Date: 23/05/13.


mercredi 24 avril 2013

Liste des films à voir et à revoir.


SerieBox
TvShowTime

Cette liste n'est pas du tout complète car je tiens un carnet qui contient à ce jour un peu plus de 300 films, vous comprendrez donc pourquoi je les mets pas tous ici ^^ Donc vous pouvez voir (je crois j'suis pas du tout certaine) ce que je veux voir (et plus) sur SerieBox. Mais j'essayerais de mettre à jour cette liste assez régulièrement, avec environ 50 films j'pense que c'est pas mal non ?
La liste des films à voir :

- Mademoiselle détective (1h34)
- Tempête de boulette géante - 1 (1h31)
- Les émotifs anonymes (1h20)
- Une place sur la terre (1h40)
- Red 2 (1h51)
- Jobs (~2h02)
- La ligne verte (3h09)
- Marley et moi (1h55)
- Mon enfant a disparu (1h29)
- Le combat de ma fille (1h30)
- Le jeu de la vérité (1h25)
- Hansel & Gretel witch hunters (1h28)
- Vous avez un message (1h59)
- Au delà (~2h09)
- Une journée à New-York (1h30)
- Cadet Kelly (1h41)
- Les chansons d'amour (1h50)
- 7 ans de séduction (1h47)
- Mais comment font les femmes ? (1h30)
- Sweet November (1h59)
- Ecrire pour exister (2h02)
- L'amour à la dérive (1h27)
- 4 filles et un jean - 2 (~2h)
- Lucky girl (1h42)
- Confession d'une accro du shopping (1h39)
- Au bonheur des ogres (1h32)
- Somebody to love (1h42)
- Target (1h44)
- Pas son genre (1h51)
- Diamants sur canapé (1h55)
- Bonnie et Clyde (1h51)
- Manhattan (1h36)
- 4 mariages et 1 enterrement (1h57)
- Le drôle de Noël de Scrooge (1h36)
- Love next door (1h32)
- Mauvaise fille (1h48)
- Juliette (1h21)
- Imogène (1h43)
- Girls attitude (1h33)
- Gatsby le magnifique (2h23)
- C’est la fin
- Pulp Fiction (2h34)
- This is us – OD (1h32)
- Seven (2h07)
- Le cinquième élément (2h06)
- Long night
- Arnaques, crimes et botanique (1h47)
- Snash
- 28 jours plus tard (1h53)
- La couleur des sentiments (2h26)


A revoir :
- Lemonade mouth (1h46)
- 16 voeux (1h30)
- Seul au monde
- La citée de l'ombre


Ce petits symbole ~ signifie que c'est à peu près ce temps là que le film dure (ex: ~2h09). 


jeudi 11 avril 2013

Moi sans toi ça n'existe pas.

Paris 16/02/13

Hollywood sans ses neuf lettres,
New-York sans la Statue de la Liberté,
Paris sans la Tour Eiffel, 
Londres sans Big Ben,
L'Egypte sans ses pyramides,
La Chine sans sa grande muraille,
Pise sans sa tour,
Rome sans le Colisée,
Athènes sans le Parthenon,
Venise sans la Place des Doges,
Washington sans la Maison Blanche,
L'Écosse sans son monstre,
Le Japon sans le Fujiyama,
L'Inde sans son Taj Mal,
C'est comme toi sans moi ça n'existe pas.



Écris le 03 avril 2013 
Photo : Don't touch, elle est de moi.

mercredi 13 mars 2013

Harcèlement morale ?




J'aimerais tout déballer, lâcher ce que j'ai sur mes épaules, dans mon coeur. Tout ce que j'ai encaisser j'aimerais le libérer. Car porter ça depuis près de 14 ans cela commence à faire trop lourd. Certaines personne disent que c'est de l'harcèlement morale qu'on m'inflige... Mais que peut-on faire contre ça ? Car il n'y a pas de trace sur le corps, pas de coups... Il y a simplement des paroles et des regards. Alors comment prouver cela ? Comment montrer qu'il y a eu harcèlement morale sur la personne depuis plus de 10 ans ?
Ceux qui font ça s'en contre fiche car "Elle doit avoir l'habitude" "C'est rien". Ça m'a casser le peu de confiance en moi, j'suis briser de l'intérieur.
Je suis peut-être lâche de ne pas le dire aux "adultes", mais j'ai peur que ça me retombe sur la gueule.
Je veux arrêter le mon massacre. 


Faut dire qu'au collège tout avait changé,
Trop d'élèves ne faisaient que de se moquer,
Partout elle se sentait rejetée [...].

Elle se demandait comment faire face,
Elle était devenue le souffre douleur de la classe [...].

Ne sachant pas comment faire,
Ni comment réagir à cet enfer,
Par honte et ne voulant pas affoler sa mère,
Petite Émilie décida de se taire...


Texte écris le 13 mars 2013. 

dimanche 27 janvier 2013

Juste envie de les encastrer dans un mur.





Se réveiller. Fermer ses yeux. Attendre 6h00. Sortir du lit en retard. 6h02. Aller au toilette. Déjeuner pendant 15 minutes. Partir s'habiller. Se maquiller, coiffer. Partir en retard de chez soi. Dormir dans la voiture durant le trajet. Arriver au lycée. En avance. 


Rentrée dès que le portail s'ouvre. Aller se posé devant la salle. Attendre que ça sonne. Rentrer en cours. Voir les gens s'agiter. Faire du bruit. Se faire engueuler. Être blasée intérieurement du comportement de certains. Croire que c'est une blague. Voir leurs maturité toucher le goudron. Envie de rigoler de leurs questions d'inculte. Voir leurs niveaux de conneries. Se foutre de leurs gueules intérieurement. Suivre les cours à moitie. Voir qu'ils ne sont pas aussi intelligent que ça. Laisser les autres se foutre de toi. Dire : "Kuzco ? T'as vue ta gueule en mode "calculette" toi ? Parle pas." "Qu'est-ce tu me parles toi, avec ta maturité frôlant le goudron". Ne se le dire qu' intérieurement. Encaisser leurs conneries. Retenir. Bouillonner de l’intérieur


OU 

Avoir une classe d'immature, inculte. Tellement conne qu'on pourrait se demander comment sont ils arriver là. Se dire qu'on est pas si bêtes que ça finalement. Attendre qu'ils se fasse jeter du lycée. Rigoler intérieurement de leurs niveaux de maturité s'élevant au dessus de zéro. Se demander dans qu'elle classe on est tombé. Se demander combien on va rester à la fin de l'année. Se dire que notre lycée accepte tout est n'importe quoi. Avoir envie de les envoyer se faire foutre. Mais surtout, surtout. Avoir envie de les encastrer dans le mur dès qu'il ouvres la bouche. Ne plus voir leurs têtes de cons. Ne plus a avoir à entendre leurs voix raconter de la merde.

Leurs conneries dépassent la taille de la photo "Extra-large". 

mercredi 16 janvier 2013

Sms effacé.



Commencer à écrire un sms. Le relire bien Faire attention à chaque virgule. Chaque mots. Le relire une dernière fois. Hésiter. Faire défiler les mots. Penser à sa réaction. Hésiter encore une fois. Puis enfin tout effacer par peur. Par peur de quoi vous me demandez ? Je sais pas. Par peur que cela empire la situation. Bref j'hésite encore à lui envoyer un sms.

Mais faut me comprendre, j'ai toujours peur de sa réaction , que cela empire, qui le prenne mal et qu'il parle plus du tout... 

mercredi 2 janvier 2013

Comme une boucle sans fin...




J'ai l'impression, en faite non c'est pas une impression c'est vrai... On fait que se prendre la tête tout l'temps sans raison réellement valable, chaque semaine. On parle peu. On se dit des choses qu'on pense pas. Puis soit ça finit à se réconcilier le soir même, ou plus simplement à ne plus se parler jusqu'au lendemain quand l'un de nous craque... J'ai l'impression qu'il n'y a jamais de pause dans toutes ces disputes. Comme si c'était écris quelque part: On s'aime - On se prends un peu la tête - Ca empire - On se parle plus - On pleure chacun de notre côté - L'un de nous craque et va voir l'autre. Puis tout reprends. Comme une boucle sans fin... Mais est-ce que tous ça c'est à cause de la distance ? On tient pas alors on trouves le moyen de se prendre la tête ? Ou s'est simplement car on a un caractère différent ? Je sais pas... 

 J'ai peur aussi. Peur de le perdre... Surement.



Ecris le 02 janvier 2013